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    Douce brise, douce colère

    Finwe
    Finwe
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    Douce brise, douce colère Empty Douce brise, douce colère

    Message par Finwe Dim 22 Sep - 14:34

    Eh bien, je pense que j'ai ressortis un bg peu utilisé pour faire comme tout le monde, vous avez de la chance, c'est pas celui d'une vingtaine de pages world
    Un bg qui date de la 4.1 et qui est inspirée d'un des livres de wow.

    [Rp]


    Des bruits, Orgrimmar était toujours agité et cela était fort plaisant même si, à l’époque, je ne m’aventurais pas loin de l’orphelinat de la ville. Un orc monté sur un loup venait en direction de l’orphelinat mais, pendant ce temps, dans le bâtiment où résidaient les enfants dont les parents étaient morts. Les miens étaient morts à cause d’un éboulement qu’ils n’ont pas sus éviter. Cela fait quelque temps, j’entends des voix, je ne sais pas d’où elle venait mais, elle me parlait sans cesse. J’avais confié ces murmures à la directrice de l’orphelinat qui disait que quelqu’un allait bientôt venir me chercher. Dans cette endroit, beaucoup des enfants aimaient m’embêtés et un d’eux venait de crier « La folle va se faire tuer ! ».

    A ce moment-là, j’arrivai près de l’enfant qui avait dit ça et tel un ouragan, je me plantais devant lui et je l’empoignais, le soulevant à quelques centimètres du sol. L’enfant m’a supplié de le lâcher, ce que je fis car, je savais que ce n’était pas une solution. Mais, dès que je le lâchai, il recommença de plus belle et fanfaronnais comme toujours au milieu des autres. Je laissai de nouveau passé cela, je savais parfaitement que je devrais attendre le bon moment pour trouver un moyen d’arrêter définitivement les sottises qu’il engendre. Des bruits de pas se rapprochaient lentement vers l’endroit où j’étais, un grand orc arriva bientôt, le regard rempli de sagesse et ses yeux se balançant sur toutes les personnes ici. Tous les fanfarons se turent, le laissant parlé par respect. Il demanda si, c’était moi la personne qui entend des voix. Je hochais brièvement de la tête, j’avais peur de ce qu’y allez se passer et le géant devant nous me demanda de le suivre. Il m’amena devant la directrice de l’orphelinat d’Orgrimmar et lui parlais en privé. Ensuite, il revint vers moi et me demanda ou entendais-je ces voix. Je lui répondis : Eh bien, quand je m’isole pour réfléchir, elle me parle comme une seconde conscience. Elle me parle des vérités de ce monde. Elle me parle d’une voie que je devrais suivre mais, je ne comprends pas ce qu’elle veut dire par une voie.

    Je ne savais pas comment, j’avais de suivre ce Mag’har mais, je pensais et je continue de penser que j’ai fait le bon choix. Je commençais à peine à comprendre la plupart des vérités que le vent me racontait. Il m’avait expliqué que le vent était à l’origine des voix que j’entendais et qu’il voulait que je m’aventure sur la voie des chamans pour communiés avec les élémentaires et aider ce monde. Il me dit qu’il m’apprendrait tous cela bientôt et quand nous fûmes loin de la ville, en haut d’une petite colline, il me demanda qu’est-ce qui était le plus important pour Azeroth. Je répondis après une longue hésitation : L’équilibre. Il me demandait de développer mes propos donc, je dis : Si un élément pouvait dominer les autres, l’équilibre serait rompus et cet élément submergerait Azeroth. Il me sourit donc, en pensant que j’étais une élève plus que prometteuse.

    Il me soumit donc à des heures de théories et de méditation dans le but de renforcer le lien entre moi et les éléments. Comme j’avais l’habitude de le faire, ma concentration ne faisait que s’affiner et je ne bronchais jamais. Malgré les courbatures à force de rester assise, j’étais heureuse et cet entrainement m’éloignait de cet orphelinat ou des parents que je n’ai jamais connus. Je servais mon maitre et toutes ses volontés étaient exécutées, je lui devais mon apprentissage et c’était pour le moment la seule chose que je pouvais faire pour le remercier. Je continuais mes entrainements ainsi pendant un moment et je commençais à développer une conception du monde plus compliqués que d’autres pourraient avoir. J’apprenais qu’il existait différents plans élémentaires et dans chacun des plans, vivaient des élémentaires du plan. Que chaque éléments avait son opposée pour une bonne raison : Les chamans tendent vers l’équilibre, quoique de manière différente. Pour les Chamans, les éléments sont intimement liés.

    Tous se repoussent et s’attire à la fois mais aucun n’a, ni ne doit avoir, de suprématie sur les autres. Si cela arrivait, les conséquences en seraient désastreuses et irréversibles. C’est pourquoi chaque élément à son contraire, un élément diamétralement opposé, avec lequel ils sont en conflit permanent. L’Eau est insaisissable, imprévisible et souvent excessive; elle s’oppose au Feu, destructeur, insatiable mais purificateur. La Terre, principe de fertilité, est inaltérable mais pourtant malléable; elle s’oppose à l’Air, rapide, versatile et intangible. Ces oppositions élémentaires sont pour les Chamans garantes de l’équilibre de la Création. Par contre les éléments se trouvent en toutes choses, en tous lieux. Mes connaissances augmentaient doucement mais, j’apprenais ce que la vie pouvait offrir, les vérités perdues du monde et j’apprenais à arpenter la voie des chamans. Le vent me murmurait, me parlait du monde et de tous ce qu’il cachait. Cette voie semblait faites pour

    moi car, mon maitre disait que j’avais un don et que je devais le consacrer à guider mon peuple pendant les moments difficile comme l’ont toujours fait les chamans. Ce don inconnue, me permettait de méditer pendant six heures d’affilés malgré mon jeune âge. Les mois, passait, les années et mon lien avec les éléments grandissait et j’apprenais le maximum sur les éléments, l’énergie chamanique et l’équilibre de ce monde. Bientôt, mon maitre décida de m’amener dans un regroupement de chaman, il m’expliqua:

    Les Chamans se groupent parfois en «assemblées» dénuées de formalité, au cours desquelles il est possible de rencontrer tous ceux qui ont de l’importance dans la région. Cela étant, ils ne se sentent nullement liés à leurs confrères. J’étais heureuse de me rendre à un tel endroit et j’allais peut-être rencontrer un des chamans les plus puissants dans cette assemblée. Je trépignais d’impatience et cette journée se termina rapidement sur une note de gaieté. Bientôt, j’allais devoir passé le jugement des éléments pour être un chaman accomplit.

    Un village, un village se dressait devant-nous, nous étions partis d’Azeroth et nous étions rentrées sur nos terres d’origine, Draenor. Nous avons pris une wyvern vers Garadar, pour passer la suite de mon entrainement là-bas. C’était un endroit tourmenter, les éléments ont subits beaucoup sur ces terres et l’entrainement serait bien plus dure mais, j’étais là pour passer mon épreuve afin d’être reconnu comme chaman. J’allais passé un rite de passage traditionnel, je fus surpris du degré d’implication et d’effort mis en œuvre pour préparer une quête de vision. Une quête de vision requérait, semblait-il, la participation de la communauté de tout entière. Quelqu’un était venu prendre mes mesures pour la robe rituelle. Un autre avait offert les plantes nécessaires au cérémonial.

    Un troisième orc s’était porté volontaire pour diriger les percussions et les chants et six autres avaient proposé leurs tambours et leur voix. Je fus surpris de cette implication pour une cérémonie. Bientôt, on commençait à m’habiller et à me préparer pour la cérémonie, mes cheveux furent tressés et entremêlés de plumes. Elle portait un gilet de cuir et une jupe ornée de plumes et de perles. Des symboles, dessinés avec de la peinture blanche et verte décoraient mon visage ainsi que ma chair verte dénudée. On me donna une robe brune à enfilée, une robe simple et de couleur unie, la robe des initiés pour l’occasion. Ma peau verte était ornée de points et de spirales jaunes et bleus, comme si je portais un masque. En temps normal, je paraissais tout en retenue, maître de moi-même. A présent, je paraissais sauvage. On m’expliqua que non loin de ce site se trouvaient les furies. Des élémentaires gigantesques qui résidaient au trône des éléments. Et bientôt, je partis d’un pas sûr vers l’endroit où aura lieu le rituel.

    Le tambour commença à battre frénétiquement dès mon arrivée. Mon maitre marchait doucement et calmement. A ce moment-là, la personne qui présidait commença : Bienvenu, Mena’lia. Enfant et élue des éléments. Non loin de ce site, les furies veillent sur nous. Elles assisteront à la cérémonie qui aura lieu cette nuit. Je contemplais l’horizon, au-delà de l’étendue d’eau noire, Je voyais une des Furies, Kalandrios, la Furie de l’air, se déplacer lentement. Mais, je savais qu’elles étaient toutes là. Je répondis : C’est bien. Je voue mon corps, ma tête et mon esprit à cette quête de vision. On me répondit : Quand tu embarques pour cette quête, m’expliqua-t-elle, ton âme quitte ton corps. Sache que pendant ton séjour dans le monde des esprits, nous veillerons avec attention sur ton enveloppe charnelle qui reposera ici. Tiens. Prends ce breuvage, bois-en l’intégralité.

    On me tendit une tasse pleine d’un liquide brun à l’odeur nauséabonde. Je l’acceptais et avalais le breuvage d’une traite puis, je déglutis avec difficulté, essayant de garder la décoction déplaisante dans mon estomac, je rendis la coupe à mon maitre et ma tête commença à tourner. Je me laissais faire et ma tête continuait à tourner et le roulement de tambours semblait vibrer dans mes veines. Comme si je fusionnais avec les battements de mon cœur. J’ouvris les paupières. Une silhouette étincelante et brumeuse se tenait devant moi. Ses yeux irradiaient, elle avait quatre pattes, des dents acérées et une queue. C’était un esprit de loup et s’était mon maitre. Il allait me guide, je me levais donc et le suivais. Soudain, le monde changea sous mes yeux. Certaines choses perdaient de leur substance, d’autres adoptaient une nouvelle et étrange solidité. Je m’ébrouais, me sentant plus légère que l’air.

    J’émergeais sous un soleil battant, sur un des toits d’Orgrimmar. Devant moi se trouvait, un jeune orque assise sur un toit à regarder les passants doucement, puis l’image changea et l’orque méditait cette fois-ci. L’air avait été le premier élément à venir vers moi. L’air, l’élément de la clarté d’esprit, de l’inspiration, de l’intuition et des nouveaux départs, mon maitre m’expliqua ceci. Puis, la brume disparue et entoura la moi, jeune. La brume se dissipa, le toit d’Orgrimmar n’était plus là et nous étions à présent dans un orphelinat, la jeune orque donnait des coups aux enfants moqueurs.

    Mon maitre dit : Le feu. Ce fut le second élément à te choisir, Mena’lia. Il t’a donné la colère et l’indignation pour que tu te battes avec férocité. Il t’a procuré la passion de combattre bien et pour des causes justes, dès que tu en as été capable. Il brûle au plus profond de ton être et te soutient même dans tes moments les plus sombres. La brume enveloppa une nouvelle fois le tous et très vite, se dissipa. Nous nous trouvions à présent dans une cours ou je me réfugiais plus jeune pour échapper aux moqueries. Mon maitre enchaina : Cette douleur et la faculté de l’apaiser sont les dons de l’eau. Les émotions profondes. L’amour. Le cœur grand ouvert pour accueillir la joie comme la peine. C’est pourquoi nous pleurons… l’eau se meut avec et à travers nous. La brume se leva de nouveau et entoura la scène. La brume tournoya, obscurcit ma vision, et je me trouvais une fois encore face à une version plus jeune de moi.

    Mon maitre était assis près du feu de camp, les mains tendues au-dessus des flammes pour se réchauffer. Mon ancien moi buvait les paroles de sagesses de mon maitre et c’est à cette instant que je compris et que je dis : Ancré. Comme la terre. C’est le don de la terre non ? Mon maitre acquiesça et me sourit. La scène commença à s’évaporer sous la brume doucement et je savais que chaque élément m’apporterait dans l’ordre : La clarté d’esprit, la colère, les sentiments et la stabilité. Je demeurai dans cet étrange état, entre deux êtres, avec mon maitre sous sa forme d’esprit du loup, à attendre une manifestation du cinquième élément. L’insaisissable étincelle qui permettait au chaman de se connecter aux autres éléments, ou un signe qui pourrait m’aider. Le temps défilait, sans que rien ne se passe puis, je demandais : Deviendrais-je une grande chaman ?

    La brume se dissipa soudain, je me vis vêtu d’une superbe armure portant une magnifique lame traversé d’éclair transpercé des morts. Je tombais à genoux maintenant simplement habillée de la robe brune des initiés et mon maitre me félicita. Les années qui suivirent me fit apprendre à maitriser le pouvoir des éléments et à utiliser mes totems mais, à la fin de cette entrainement, je reçu l’armure et la lame que j’avais vu sur le moi futur tuant des trolls. L’évènement allait bientôt se passer et mon épée comme mon armure avait reçu la bénédiction du vent. J’allais maintenant combattre pour mon peuple. Mais, je dus me rendre avant à une assemblée chamanique pour parler des évènements. Je repris ensuite la route.

      La date/heure actuelle est Mar 7 Mai - 3:29